Coucou les Filles,
Quel ne fût pas ma surprise en découvrant dans un magazine de mode ,cet immense sac à main 
,très jolie certes mais tellement encombrant.J’ai tout de suite pensez à vous et je suis dit quand cette tendance arrivera dans votre magasins préférés, j’ai trouvé intéressant de partager avec vous les arguments de ce magazine sur les avantages et les inconvénient de ces sacs.
Selon les concepts morphologique plus le sac est démesuré,plus le gabarit de sa propriétaire donnera l’impression de se rapprocher de celui de Lily-Rose Depp.
Autant dire qu’à l’approche du printemps et de ses innombrables recettes miraculeuses pour réduire le nombre de nos cellules adipeuses, les designers ont trouvé là un argument imparable pour réussir à convaincre les modeuses de s’offrir une de leurs dernières créations…
Avantages :
Devant l’espace limité que vous offrent vos sacs à main vous n’aurez plus à vous poser les questions existentielles que l’on se posent toutes le matin à savoir que prendre ? Que laisser ?
vous n’aurez plus à faire le sacrifice de choisir entre prendre son roman de 768 pages et son thermos de thé blanc , ses lingettes démaquillantes ou son eau de coco et sa paire d’escarpins de rechange.
Vous pourrez désormais partir au bureau avec votre tapis de yoga, plusieurs paires de chaussures (afin de pouvoir parer à toute éventualité) et son blender (les jus frais, il n’y a que cela de vrai).LOL
A l’heure où la pratique du co-voiturage est plus que jamais dans l’air du temps, pourquoi ne pas se mettre au « co-bag » en partageant l’achat et le port de son sac oversize avec sa collègue/best friend ?
L’objectif étant à la fois de limiter les tensions avec son banquier, de protéger ses lombaires (le poids du sac se voyant ici divisé par deux) et de développer son sens du partage (il nous faudra en effet apprendre à ne pas s’offusquer si la copropriétaire de votre grand sac confond votre rouge à lèvres avec le sien ou ne résiste pas à grignoter un bout de la barre chocolatée dissimulée au niveau -3 dudit sac).
Offrir – sans le vouloir – à son enfant de 3 ans une cachette idéale dans laquelle il pourra se réfugier chaque fois qu’il ne voudra pas enfiler ses chaussettes; Se sentir obligée de combler cet espace gargantuesque lors d’une virée shopping chez AMI et se retrouver à découvert pour les 100 prochaines années. Perdre systématiquement 45 minutes à l’entrée des Grands Magasins en attendant que le vigile ait fini de sonder les profondeurs abyssales du sac blanc Céline située dans l’image ci-dessus . Se faire maudire par une rame entière de métro lorsqu’à 7h du matin on essaiera tant bien que mal d’insérer notre J.W. Anderson dernier modèle dans la masse compacte des voyageurs. Devoir d’expliquer à son patron que l’énorme baluchon qui nous sert de porte-documents n’est pas un sac de linge sale, mais une création imaginée par Natasa Cagalj pour la griffe italienne Ports 1961. Dans le TGV, découvrir horrifiée – après s’être assoupie quelques minutes – que la fillette d’à côté a pris notre pochette Pucci pour une tête à coiffer…
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